Mots clésFUSARIUM, LUTTE PREVENTIVE, MALADIE, MARQUEUR MOLECULAIRE

RésuméPoster présenté pour l'Astredhor lors du workshop Biocontrol of Plant Diseases : from the field to the laboratory and back again (Suède du 15 au 18 juin 2014) par Charline Lecomte, étudiante en thèse, travaillant sur la fusariose du cyclamen. Ce poster détaille la recherche d'un marqueur moléculaire permettant une détection précoce du pathogène. Au cours de la soirée de gala se tenant au château d'Uppsala, Charline a été récompensée pour son travail en obtenant le premier prix des posters.

Pour info :
Du 15 au 18 juin 2014 s'est tenu le workshop Biocontrol of Plant Diseases : from the field to the laboratory and back again organisé par le groupe de travail Biological control of fungal and bacterial plant pathogens de l'IOBC (International Organization for Biological and Integrated Control). L'évènement a réuni 150 chercheurs, étudiants et professionnels de sociétés ou d'instituts dans le domaine du végétal à Uppsala en Suède. Au total 30 pays différents étaient représentés. En 3 jours 71 posters et 43 présentations orales ont été exposés.
Cette réunion a permis de dresser un état des lieux de la lutte biologique, de ses réussites, de ses limites et surtout de l'avenir de cette méthode de lutte. Etant donnée la réduction progressive de l'utilisation des intrants et la pression sociétale, la recherche de méthodes de lutte alternative à la lutte chimique constitue un enjeu majeur pour l'agriculture d'aujourd'hui et de demain. Il semble que de nombreux projets s'intéressent au développement de cette méthode, bien que le parcours de l'isolement de souches antagonistes à leur commercialisation s'apparente à celui du combattant.