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Deux nouvelles thèses publiées pour l'Institut  (21/09/2016)

Fusariose du cyclamen et architecture du rosier : deux thèses ASTREDHOR aujourd'hui disponibles.

Thèse "Fusariose du cyclamen : détection préventive du risque et contrôle biologique", de Charline Lecomte, Docteur en sciences de la vie.
Cette thèse est le produit de la recherche collaborative entre ASTREDHOR, l'Inra de Dijon et la société Agrene à propos de la fusariose vasculaire du cyclamen (Fusarium oxysporum f. sp. cyclaminis). Des bioessais conduits en serre ont ainsi été menés afin de mettre en évidence un outil de détection de cette maladie, ainsi qu'un agent de lutte biologique dont l'efficacité reste à tester en conditions réelles de production.
Charline Lecomte décrit les conditions, le matériel utilisé, la méthodologie ainsi que le résultat des essais menés, et s'intéresse en particulier au développement d'un outil moléculaire de détection, à l'identification d'agents de lutte biologique efficaces et aux perspectives pour des essais ultérieurs.
Cette thèse de 211 pages a été publiée le 19 mai 2016.

Thèse "Déterminismes génétiques et environnementaux des composantes architecturales à l'origine de l'élaboration de la forme du rosier buisson", de Camille Li-Marchetti, Docteur en biologie et agronomie.
Cette thèse est le résultat d'une collaboration entre ASTREDHOR et l'UMR IRHS (Institut de Recherche en Horticulture et Semences ; Inra - AGROCAMPUS ouest - Université d'Angers). Elle met en évidence les facteurs génétiques et environnementaux qui déterminent l'architecture du rosier buisson (Rosa) dont dépend en partie la forme de la plante, donc sa qualité visuelle.
Comme le montre Camille Li-Marchetti, l'architecture du rosier peut être contrôlée génétiquement via la création variétale et/ou par des techniques culturales comme la taille, l'utilisation de régulateurs de croissance, l'application d'une restriction hydrique, le contrôle de la lumière ou encore la stimulation mécanique. Néanmoins, une meilleure maîtrise de l'élaboration de la forme du buisson rosier peut être atteinte grâce à une connaissance plus fine de l'hérédité, de l'héritabilité des variables architecturales et de l'interaction génotype x environnement. Cette thèse de 321 pages a été publiée le 26 février 2016.

Pour toute information complémentaire ou consulter les thèses : documentation@astredhor.fr